Les poux

Les symptômes

Votre enfant :

  • se gratte frénétiquement la tête et les oreilles;

Pour être certain que sa chevelure est infestée par des poux, il faut trouver des insectes vivants sur sa tête. Le fait qu’il se gratte ne suffit pas pour établir un diagnostic. Même si vous trouvez des oeufs, cela ne signifie pas que votre enfant est infesté.

Consultez le médecin si :

  • le cuir chevelu de votre enfant a des plaies qui semblent infectées.

Consultez un professionnel de la santé (pharmacien, infirmière ou médecin) si :

  • les traitements appliqués ne sont pas efficaces.
  • les traitements appliqués causent des démangeaisons intenses.
Qu’est-ce qu’un pou de tête?

Le pou de tête qui attaque les humains est un petit insecte (Pediculus capitis) à 6 pattes, qui mesure de 2 mm à 4 mm. Il ne peut ni voler ni sauter, mais il peut ramper très rapidement. C’est un parasite qui n’arrive à vivre que dans une chevelure humaine, tout près du cuir chevelu ou sur les cils. Ce sont les seuls endroits où il peut assurer sa survie et sa reproduction. Il s’y tient au chaud et s’alimente en suçant de très petites quantités de sang du cuir chevelu. En cas d’infestation entraînant des lésions de la peau (« pédiculose », en terme médical), la chevelure d’un enfant peut contenir de 10 à 20 poux adultes, parfois moins.

Bien que la présence de poux de tête puisse causer des démangeaisons et être gênante, ce petit insecte ne transmet aucune maladie à l’humain. Cependant, votre enfant peut irriter la peau de son cuir chevelu en se grattant et causer des lésions qui risquent de s’infecter. Certains enfants sont plus sensibles que d’autres aux poux et ressentent de fortes démangeaisons; d’autres ne souffrent pas de leur présence.

Contrairement à la croyance populaire, le fait d’avoir des poux ne signifie pas que l’on manque d’hygiène. Le pou est simplement un parasite tenace et particulièrement bien adapté aux humains depuis des siècles. Il s’installe autant sur une tête propre que dans une chevelure négligée. Il ne fait de distinction ni entre les races ni entre les classes sociales.

Le pou ne peut survivre plus de 2 ou 3 jours ailleurs que sur une tête humaine. Malheureusement, quand il en trouve une, il s’y accroche solidement, et la femelle y pond ses oeufs, appelés lentes. Au cours de sa vie (qui dure de 3 à 4 semaines), elle peut en produire 5 ou 6 par jour.

Chaque lente est solidement attachée à un cheveu, tout près du cuir chevelu, ou à un cil. Si elle est fécondée et si elle peut vivre, elle éclot 9 ou 10 jours plus tard. Elle libère une nymphe, qui deviendra un pou adulte en 15 jours. Les poux qui survivent cherchent rapidement une autre tête humaine où s’installer et se multiplier à leur tour.

Âge : tout le monde peut avoir des poux, mais les enfants de 3 ans à 12 ans sont particulièrement touchés. Les poux sont rares chez les enfants de 2 ans et moins.
Durée de l’infestation : lorsque l’on prend les mesures adéquates, l’infestation peut être maîtrisée en 1 ou 2 semaines, parfois en 3 ou 4 semaines. Une nouvelle infestation est toujours possible si l’enfant est en contact étroit avec un camarade infesté.
Période de contagion : elle dure tant qu’il y a des poux vivants ou des lentes viables sur la tête de l’enfant.
Mode de transmission : le plus souvent, les poux passent d’une tête à l’autre par contact direct de chevelure à chevelure. Plus rarement, ils profitent d’un échange de chapeau, de foulard ou de bandeau de tête. Ils peuvent aussi profiter d’un véhicule, comme un peigne, une brosse, une serviette, une taie d’oreiller, etc.
Quarantaine : la Société canadienne de pédiatrie estime que les enfants qui ont des poux de tête devraient se faire traiter et continuer d’aller à l’école ou à la garderie. Si votre petit est infesté, avisez-en l’école ou la garderie. Dites à votre enfant d’éviter de coller sa tête contre celle des autres jusqu’à ce qu’il n’ait plus de poux. Les écoles et les services de garde devraient aviser les parents lorsqu’il y a un cas de poux de tête. Ils devraient aussi leur fournir de l’information au sujet du diagnostic et du traitement.
Comment traiter?

La prescription du médecin

Il se peut que, pour diverses raisons, les produits en vente libre ne viennent pas à bout de l’infestation de poux. Le médecin pourra alors vous recommander d’autres mesures.

Soins et conseils pratiques

Le traitement classique contre les poux de tête consiste à éliminer ceux-ci à l’aide d’un insecticide topique (pédiculicide). Selon le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS), les produits recommandés ici sont sûrs lorsqu’on les emploie en suivant exactement les indications du fabricant. Souvenez-vous qu’ils renferment des substances toxiques. Ne les utilisez que si vous avez trouvé au moins un pou vivant sur la tête de votre enfant et évitez de vous en servir de façon exagérée.
Comment examiner la chevelure de votre enfant?

Si votre enfant a des démangeaisons au cuir chevelu ou si vous savez qu’il y a des poux dans son entourage, examinez sa chevelure tous les jours. Vous aurez besoin d’un peigne à dents très fines. Ce type de peigne est vendu en pharmacie. Certains fabricants de produits contre les poux en fournissent dans l’emballage.

  • Placez la tête sous un bon éclairage. Comme les poux fuient la lumière, il est possible de voir les poux se déplacer à l’oeil nu. Vous pouvez aussi utiliser une loupe pour mieux les voir. Les lentes sont plus visibles parce qu’elles sont immobiles. Cependant, leur présence ne prouve pas qu’il y ait une infestation active : pour être sûr que votre enfant a des poux, vous devez trouver des insectes vivants dans sa chevelure.
  • Mouiller les cheveux avant de passer le peigne fin. L’application d’un revitalisant facilite la recherche des poux. Toutefois, l’utilisation de revitalisant est contre-indiquée si l’on utilise Kwellada-P® 1% ou Nix® 1% car il diminue l’efficacité du traitement
  • Cherchez d’abord les lentes en séparant la chevelure en de petites sections, en allant d’un côté de la tête jusqu’à l’autre. Soyez attentif et regardez près du cuir chevelu. Les lentes sont d’un blanc grisâtre. Elles sont de forme ovale et ressemblent à des pellicules. Mais, contrairement à celles-ci, elles sont solidement attachées au cheveu. Cherchez d’abord derrière les oreilles, sur la nuque, puis sur le dessus de la tête.
  • Si vous trouvez des lentes, c’est qu’il y a peut-être des poux vivants. Elles pourraient aussi provenir d’une infestation passée et ne plus être viables. Poursuivez donc votre exploration avec soin, à la recherche d’au moins un pou vivant.
  • Si vous trouvez au moins un pou vivant sur sa tête, prévenez sa garderie ou son école, ainsi que les parents des enfants qui jouent régulièrement avec lui.
  • Examinez la chevelure des autres membres de votre famille (y compris les adultes), et traitez de la même manière toute personne chez qui vous trouvez des poux vivants. Idéalement, un individu de votre entourage qui est infesté devrait être traité le même jour afin d’éviter une réinfestation.

Traitez seulement les personnes qui ont des poux ou des lentes vivantes.

Les différents traitements

Si vous trouvez des poux ou des lentes vivantes, vous devez faire un traitement. Le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS) recommande les 2 catégories de produits ci-dessous que l’on retrouve en vente libre dans les pharmacies. D’autres traitements y sont aussi vendus, mais leur efficacité n’a pas été démontrée.

Les traitements en 2 applications qui tuent les poux et les lentes

  • Kwellada-P® 1 %, Nix® 1 % ou NYDA®

Ces 3 produits sont déconseillés pour les enfants de moins de 2 ans.

  • Pronto® ou R&C®

Ces 2 produits sont recommandés pour les enfants de moins de 2 ans.

Les traitements en 3 applications qui tuent les poux, mais qui n’ont peu ou pas d’effet sur les lentes

  • Zap® et Resultz®

Ces 2 produits sont déconseillés pour les enfants demoins de 2 ans.

Peu importe le produit utilisé, le traitement consiste en plusieurs applications du même produit. Il est important de suivre exactement les indications du fabricant pour que le produit soit efficace. Même si vous ne voyez plus de lentes ou de poux, faites toutes les applications recommandées.

Si toutefois, vous apercevez des poux vivants 17 jours après la 1ère application du produit, il est recommandé de recommencer avec un produit différent :

  • si vous avez utilisé Kwellada-P® 1 %, vous pouvez utiliser les autres produits mentionnés ci-haut sauf Nix® 1 %;
  • si vous avez utilisé Nix® 1 %, vous pouvez utiliser les autres produits mentionnés ci-haut sauf Kwellada-P® 1 %;
  • si vous avez utilisé Pronto®, vous pouvez utiliser les autres produits mentionnés ci-haut sauf R&C® ;
  • si vous avez utilisé R&C®, vous pouvez utiliser les autres produits mentionnés ci-haut sauf Pronto®;
  • si vous avez utilisé NYDA®, vous pouvez utiliser tous les autres produits mentionnés ci-haut;
  • si vous avez utilisé Zap®, vous pouvez utiliser tous les autres produits mentionnés ci-haut;
  • si vous avez utilisé Resultz®, vous pouvez utiliser tous les autres produits mentionnés ci-haut.
Femmes enceintes
Les produits suivants peuvent être utilisés chez les femmes enceintes et celles qui allaitent : Kwellada-P® 1 %, Nix® 1 %, Pronto® ou R&C®. Il est toutefois suggéré de consulter un médecin avant d’utiliser ces produits durant la grossesse.
Comment enlever les lentes?
  • Mouillez d’abord les cheveux de l’enfant en les enveloppant d’une serviette humide pendant 30 minutes.
  • Passez le peigne fin dans toute la chevelure en procédant mèche par mèche, en allant du cuir chevelu jusqu’à l’extrémité des cheveux. Portez une attention particulière à l’arrière des oreilles et à la nuque.
  • Trempez le peigne fin dans de l’eau chaude après chaque coup de peigne.
  • Pour retirer une lente qui résiste au peigne fin, utilisez vos ongles ou une pince à épiler en la faisant glisser le long du cheveu
  • Répétez cette procédure quotidiennement, pendant toute la durée du traitement. C’est nécessaire pour retirer les lentes qui ne sont pas détruites par le traitement.
  • Si vous apercevez des poux ou des lentes sur les cils, vous pouvez y appliquer un corps gras – de la Vaseline par exemple – 2 fois par jour pendant 1 semaine.
Les objets personnels

Il y a peu de risque que des poux se transmettent par les objets personnels. Si toutefois vous recevez un avis de l’école ou du service de garde, vous pouvez traiter les objet utilisés régulièrement par la personne infestée (literie, peignes, brosses, chapeaux, etc.) selon une des méthodes suivantes :

Faites tremper les objets dans un shampoing contre les poux non dilué ou dans l’eau chaude (65 °C ou 149 °F) de 5 à 10 minutes.

  • Mettez les vêtements dans la sécheuse à haute température pendant 20 minutes.
  • Mettre les objets dans un sac de plastique très bien fermé pendant 10 jours.

Ne vaporisez pas d’insecticide dans la maison, sur les meubles ou les articles, et ne demandez pas à un exterminateur de le faire. C’est inutile et c’est dangereux pour la santé. Un bon coup d’aspirateur, notamment sur les tapis et les fauteuils, suffit.

Les pédiculicides sont-ils dangereux?
Tous les insecticides sont toxiques, et ceux qui sont employés pour combattre les poux de tête ne font pas exception. Qu’ils soient en vente libre ou délivrés sur ordonnance, ils peuvent causer des effets indésirables importants. C’est pourquoi certains pédiculicides ne sont pas autorisés au Canada : c’est le cas du shampoing au lindane qui n’est plus recommandé et qui a été retiré du marché en raison de son effet neurotoxique et des échecs attribués à la résistance. Tous les produits recommandés par les autorités de santé publique ont été évalués et les avis sont révisés continuellement.
Sont-ils efficaces?
Les autorités médicales de plusieurs pays ont rapporté des cas de résistance aux pyréthrines, à la perméthrine et au lindane. Au Canada, des cas de résistance des poux aux pédiculicides ont été rapportés, mais le taux demeure inconnu. Au Québec, les nombreux rapports d’échecs concernant les traitements contre les poux laissent entrevoir l’émergence d’une résistance. Une étude est en cours afin de documenter la présence et l’ampleur de la résistance à la perméthrine et aux pyréthrines. Les résultats sont attendus pour 2014. Concernant les produits contre les poux à base de substances naturelles (NYDA®, Zap® et Resultz®), aucun cas de résistance n’a été rapporté.
Le peigne fin fait partie de la thérapie d’élimination des poux. Son utilisation améliorerait l’efficacité du traitement et contribuerait à arrêter ou retarder le développement d’une résistance des poux aux pédiculicides.
Sont-ils nécessaires?
Des essais préliminaires indiquent qu’on pourrait se débarrasser des poux de tête sans utiliser d’insecticides. On pourrait plutôt se servir du peigne fin très souvent et régulièrement durant 1 ou 2 semaines. Le Dr Martin Dawes, expert en traitement des poux de tête et attaché au service de médecine familiale de l’Université McGill (Montréal), estime que cette approche pourrait être aussi efficace que l’emploi de pédiculicides. Mais, pour l’heure, les autorités médicales canadiennes et québécoises conseillent d’utiliser les pédiculicides comme traitement de première ligne.
Comment prévenir?
  • Demandez à votre enfant d’éviter autant que possible de coller sa tête contre celle des autres.
  • Faites-lui prendre l’habitude de ranger son chapeau et son foulard dans la manche de son manteau.
  • Gardez les cheveux longs attachés autant que possible.
  • Examinez régulièrement la tête de votre enfant.
Références

Note : les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu’un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.

Erythema infectiosum! “5th disease”

Symptoms

Your child:

  • has general symptoms of a cold (fever, dry cough, runny nose) or flu (fatigue, muscle aches, fever);
  • has very red cheeks;
  • has lace-like rosacea rashes; they are located on his limbs, mainly, and extend towards his extremities;
  • has rashes, often itchy, that sometimes occur after exposure to heat or sun.
Consult the doctor if your child:
  • has joint pain;
  • has a temperature that exceeds 38.9°C (102°F);
  • already suffers from anemia or a weakened immune system.

Also check if you are pregnant and have been exposed to an infected child.

What is erythema infectiosum?

Erythema infectiosum, also called fifth disease, is an infection of the upper respiratory tract (nose, mouth, pharynx, larynx) caused by a virus, human parvovirus B19. The disease is generally harmless and resolves on its own, without leaving any after-effects. It can even happen that a parvovirus infection goes unnoticed and is confused with a cold or flu. The child does not usually feel very sick. In older people, the infection can cause joint pain.

Parvovirus infection slows the formation of red blood cells, which is harmless in most children. However, it can cause complications in a child who is already anemic, or whose immune system is weakened by an illness or specific medication.

The body is protected for life ( immune ) after an infection. During pregnancy, especially during the first half of the pregnancy, it can happen that a parvovirus infection causes complications in a woman who has never been infected before.

Age: Children aged 5 to 15 are particularly affected, but the virus can infect younger children or adults.
Duration of illness: 1 to 3 weeks.
Incubation period:  4 to 28 days.
Mode of transmission:  By droplets of secretion suspended in the air when an infected person coughs, sneezes or spits or by contact with objects or the hands of an infected person.
Contagious period:  the child is contagious during the incubation period and the first phase of the illness, generally similar to a cold or flu; he ceases to be contagious as soon as the rash appears.
Quarantine:  In theory, there is no point in keeping the child home if he or she feels well enough to go to daycare or school, since he or she is usually no longer contagious once the rash appears.
How to treat?

 

 The doctor’s prescription

No medical treatment is required unless symptoms are severe or there are complications.

Care and practical advice
  • Encourage quiet activities and rest.
  • Give your child something to drink often: water, juice, soup.
  • To relieve pain and fever, give acetaminophen (Tylenol®, Tempra®, Panadol®, etc.) or ibuprofen (Advil®, Motrin®, etc.) as directed and in the recommended doses based on age. Do not give ibuprofen to a child under six months of age, and never give acetylsalicylic acid (ASA), such as Aspirin®, to a child or adolescent.
  • If necessary, apply calamine lotion to the rashes to calm the itching.
How to prevent?

Erythema infectiosum cannot be prevented.

Basic hygiene. However, usual hygiene measures can help protect against infections in general:

  • Handwashing. Wash your hands with soap after coming into contact with an infected person or touching something that person has handled. Wash young children’s hands often and teach them to do it themselves as soon as possible, especially after coughing, sneezing, or blowing their nose.
  • The handkerchief. Teach children to cough or sneeze into a handkerchief.
  • Cough or sneeze into the crook of your elbow. If you can’t do it into a tissue, teach your child to cough or sneeze into the crook or crease of their elbow rather than into their hand.
  • Disinfection of transmission surfaces. Thoroughly clean toys, faucets and door handles, preferably with an alcohol-based cleaner.

References

Note: Hyperlinks to other sites are not updated continuously. It is therefore possible that a link may become untraceable. In such a case, use the search tools to find the desired information.

  • KidsHealth. Parents. Skin. Infections & Rashes. “Fifth Disease”. www.kidshealth.org
  • LABBÉ, Jean (Dr). Pediatric Bulletins. Your child from birth to 5 years. Faculty of Medicine. Laval University, Quebec, 2006.
  • Mayo Clinic. “Parvovirus infection”.  www.mayoclinic.com
  • Revolution Health. “Fifth Disease (Healthwise)”. www.revolutionhealth.com
  • CANADIAN PAEDIATRIC SOCIETY. Caring for our children. “Fifth disease.”  www.cps.ca

Aider l’enfant a faire ses devoirs!

Les enfants souffrant de TDAH ont souvent du mal à commencer ou terminer leurs devoirs. Il est important de traiter ces problèmes au plus tôt car ils peuvent nuire à leur rendement scolaire. Les chercheurs ont observé que, souvent, les enfants souffrant de TDAH :

  • oublient d’inscrire leurs devoirs
  • oublient d’apporter à la maison le matériel dont ils ont besoin
  • repoussent l’amorce des devoirs
  • se laissent distraire
  • ne finissent pas leurs devoirs
  • font leurs devoirs négligemment
  • oublient de rendre les devoirs terminés

Chez les enfants plus jeunes, ces manquements sont couramment liés à des problèmes de langage, de mémoire ou d’organisation. Au fur et à mesure que les enfants grandissent, ils ont des devoirs de plus en plus complexes qu’ils doivent faire individuellement, ce qui ne manque pas d’accroître la difficulté.

Pour aider votre enfant à faire ses devoirs, essayez les stratégies suivantes :

  • Adoptez des horaires et des routines. Assurez-vous que votre enfant fait ses devoirs à la même heure tous les soirs.
  • Affichez des rappels visuels de ce que votre enfant est tenu de faire, y compris des listes de vérification, un bloc-notes et un calendrier.
  • Aidez votre enfant à consigner sur un bloc-notes ou un agenda tous ses devoirs ainsi que les dates d’échéance connivences.
  • Aidez votre enfant à décomposer les devoirs importants en tâches plus simples et à établir des échéances pour chacune de ces tâches.
  • Aidez votre enfant à consigner sur un diagramme ce qu’il accomplit chaque jour, ou trouvez une autre méthode qui lui permet de surveiller ses progrès.
  • Établissez un système de récompense pour les devoirs terminés, afin de fournir à votre enfant un renforcement positif.
  • Aidez votre enfant à organiser son bureau ou son espace de travail. Maintenez les fournitures scolaires au même endroit. Étiquetez les articles importants.
  • Si votre enfant oublie d’emmener à l’école les devoirs terminés, fabriquez une chemise de classement de couleur écarlate qu’il pourra conserver dans son cartable pour y mettre ses devoirs

À l’école, l’enseignant de votre enfant peut appliquer des stratégies similaires.

  • Toujours distribuer les devoirs à la même heure et au même endroit.
  • Apprendre aux enfants à inscrire leurs devoirs sur un agenda.
  • Donner des consignes claires et adéquates.
  • Fournir un renforcement positif pour les devoirs rendus.

La collaboration entre la maison et l’école est importante. Convenez de stratégies efficaces avec l’enseignant de votre enfant et aidez votre enfant à les appliquer. Au fur et à mesure que votre enfant s’améliore grâce à ces stratégies et apprend à terminer ses devoirs, nuancez le soutien direct que vous lui apportez.